Si on voit que quelqu’un a dit ou
fait quelque chose, que ce soit envers le Ciel ou envers les hommes,
il faut juger ce qu’il a dit ou fait favorablement. S’il s’agit
de quelqu’un qui craint D., nous sommes obligés de le juger
favorablement, même s’il paraît plus vraisemblable qu’il ait
fauté.
Si c’est quelqu’un de moyen, qui se
garde de la faute mais y tombe parfois, et que les probabilités
soient équivalentes, il faut faire pencher le doute en sa faveur,
comme l’ont dit les Sages: « Celui qui juge autrui
favorablement, D. le jugera favorablement ».
Cela fait partie du principe général
« tu jugeras ton prochain en justice ». Même si la faute
paraît plus vraisemblable, il est très bon que cela soit pour nous
un doute et non pas une certitude. (‘Hafets ‘Haïm)
Talmud
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